L’astronaute japonais Kimiya Yui s’apprête à retourner dans l’espace avec la mission SpaceX Crew-11 de la NASA. Âgé de 55 ans, le pilote japonais de la JAXA embarquera pour six mois à bord de l’ISS, emportant avec lui des expériences scientifiques et une montre qui a déjà fait ses preuves en apesanteur : la G-Shock DW-9052.

Ce Japonais de 55 ans, ancien pilote des Forces d’autodéfense aérienne de son pays, n’en est pas à son premier séjour orbital. En 2015, il avait déjà passé 142 jours dans les confins de notre atmosphère, également avec une montre G-SHOCK. La NASA nous confirme son départ programmé pour juillet 2025, pour une mission d’environ six mois aux côtés d’astronautes américains et russes.
La G-Shock DW-9052 est un modèle emblématique de résistance. Cette montre, appréciée par les forces militaires du monde entier, se distingue par sa construction robuste et son allure sans compromis. Les commandos et la marine nationale ont adopté ce garde-temps pour ses qualités exceptionnelles face aux conditions extrêmes. Sa silhouette caractéristique des années 90, avec ses petits boutons en plastique gris aux extrémités des cornes, lui confère un charme indéniable.

Lors d’une récente séance photo officielle en novembre 2024, Kimiya Yui a porté fièrement cette G-SHOCK DW-9052 au poignet, posant aux côtés de ses collègues de mission : la commandante Zena Cardman, le spécialiste de mission Oleg Platonov et le pilote Mike Fincke. Un choix qui s’inscrit dans une certaine tradition, puisque son compatriote Takuya Onishi, actuellement à bord de l’ISS avec l’équipage Crew-10, arbore parfois lui aussi des montres G-Shock.
Nous ignorons si Yui conservera sa DW-9052 lors de son prochain séjour spatial, car il porte également d’autres marques horlogères. Mais ce modèle, vendu à un prix abordable d’environ 150 euros, représente parfaitement la philosophie G-Shock : résistance aux chocs, étanchéité jusqu’à 20 bars, affichage digital lisible et fonctionnalités multiples.

La NASA et SpaceX prévoient pour cette mission Crew-11 des investigations scientifiques et des démonstrations technologiques destinées à préparer les futures missions lunaires et à développer des applications bénéfiques pour notre planète. Kimiya Yui, qui avait rejoint l’état-major de l’armée de l’air au ministère japonais de la Défense comme lieutenant-colonel en 2008, apportera son expérience précieuse à cette nouvelle aventure spatiale.