Tenue à l’Espace Champerret dans le 17e arrondissement de Paris, la nouvelle collection de Ludovic de Saint Sernin a toujours le même mot d’ordre : sexy.
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Taille basse, débardeurs transparents, sous vêtements apparents (aussi bien pour homme que pour femme), jeans tatoués du logo de la maison en cristaux, shorts satinés, pantalons en cuir agrémentés du détail œillets signature du créateur, et t-shirt porté à moitié, avec une manche remontée sur l’épaule, la collection reste fidèle à son esthétique audacieuse des années 2000 – on parle alors de l’esthétique Y2K, expression très populaire sur les réseaux sociaux pour parler de la tendance des jeunes, ou des nostalgiques de l’époque, qui s’approprient les genres vestimentaires de la période.
“L’idée de départ c’est que cette saison je suis ma propre muse”, indique Ludovic de Saint Sernin.
Entre les vêtements en maille transparente et les sous-vêtements, il y a des silhouettes longues et fluides qui s’apparentent davantage aux “vêtements de jour” traditionnels, mais toujours avec une approche sensuelle et genderless si chère au créateur.













