En raison de problèmes de voyage liés à la pandémie, Yohji Yamamoto ne s’est pas déplacé à Paris cette saison. Au lieu d’un show physique à Paris, sa collection a été filmée à Tokyo, devant un public, et diffusée sur la plateforme de la Paris Fashion Week.
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Enrôlant un casting intergénérationnel, dont cinq acteurs japonais, l’offre d’automne de Yohji Yamamoto puise ses inspirations dans les silhouettes des dandys britanniques du 19e siècle, du Beau Brummell à Oscar Wilde en passant par les personnages des romans de Charles Dickens.
Dans une palette principalement en noir et blanc, certains portaient des costumes trois pièces, des gilets et des pantalons bouffants, et accessoirisés avec des cravates nouées exagérées ou des écharpes à bords déchiquetés quand d’autres, des blazers associés à de longues chemises blanches en coton, aux allures décontractées. Tout ce vestiaire très sombre est illuminé de temps à autres par quelques silhouettes blanches sous forme de chemises de smoking gonflées et flottants ainsi que par des imprimés, aux nuances de vert, de gris ou de rouille, basés sur des œuvres d’art du peintre polonais Zdzislaw Beksinski.




































