L’ode de King Seiko à l’art et au patrimoine de Tokyo

Par Vincent Mechet 7 vues 4 Minutes de lecture

Mariant tradition et innovation, Seiko déroule une chronique avec son chef-d’œuvre le plus récent : King Seiko, un récit qui nous plonge au cœur de la riche histoire de Tokyo, où la saga King Seiko a débuté dans les années 1960. Avec un clin d’œil à l’un des symboles les plus chers au Japon, le chrysanthème, cette nouvelle version met en valeur le savoir-faire impeccable synonyme de la marque.

L'ode de King Seiko à l'art et au patrimoine de Tokyo

L’élément phare de cette montre est sans aucun doute son cadran envoûtant. King Seiko a puisé dans le passé historique du Japon en faisant du chrysanthème la pièce maîtresse de ce projet artistique. Plus qu’une simple fleur, le chrysanthème, avec ses pétales vibrants, incarne la longévité et le rajeunissement, deux vertus qui résonnent profondément dans l’héritage japonais. Ce symbole de floraison est transformé de manière créative en motif kiku tsunagi-mon sur le cadran de la montre, qui reflète l’essence connectée du chrysanthème.

Ce motif complexe trouve ses racines dans la verrerie Edo-kiriko, un artisanat japonais intemporel chéri depuis des siècles. Edo-kiriko, un terme qui évoque des images d’objets à multiples facettes, reste réputé pour la délicatesse et la précision avec lesquelles les artisans sculptent des motifs à multiples facettes dans le verre.

L'ode de King Seiko à l'art et au patrimoine de Tokyo

En pénétrant dans la construction de la montre, nous sommes téléportés dans le passé. Le design s’inspire fortement de la King Seiko KSK de 1965. Un garde-temps qui, avec son boîtier angulaire et sa fonctionnalité fiable, a façonné la réputation de King Seiko à ses débuts. Ces boîtiers aux arêtes vives, ornés de larges surfaces plates et d’angles distincts, ont été méticuleusement polis pour capter et refléter la lumière de la manière la plus enchanteresse qui soit. Les aiguilles des heures et des minutes incarnent elles aussi la qualité de fabrication inégalée de Seiko et complètent sans effort l’esthétique de la montre inspirée des chrysanthèmes.

L'ode de King Seiko à l'art et au patrimoine de Tokyo

Le battement de cœur de ce garde-temps, le svelte calibre 6L35 de Seiko, garantit que cette montre n’est pas seulement une question d’esthétique, mais aussi de performance de haut niveau. Remarquablement, cette dernière offre est plus mince que son prédécesseur de 1965, la King Seiko KSK originale. Ce profil mince est obtenu sans sacrifier le remontage automatique ou le guichet de date pratique, ce qui témoigne de l’engagement de Seiko à faire progresser son métier.

Pour ceux qui sont intrigués par les caractéristiques techniques, cette montre en édition limitée offre 28 800 alternances par heure, une impressionnante réserve de marche de 45 heures et 26 rubis. Enveloppée dans un boîtier en acier inoxydable, la montre est protégée par un verre saphir en forme de boîte, rehaussé d’un revêtement antireflet. Le fond de boîtier vissé ajoute une couche supplémentaire de solidité. Avec un diamètre de 38,6 mm et une épaisseur de 10,7 mm, ce garde-temps King Seiko offre un mélange équilibré de poids et d’élégance. Son étanchéité à 5 bars et sa résistance magnétique de 4’800 A/m ne font que renforcer sa position de pièce de luxe fiable.

L'ode de King Seiko à l'art et au patrimoine de Tokyo

Cette King Seiko est livrée avec un bracelet en cuir supplémentaire et son prix de vente conseillé est de 3 400 dollars. Limitée à seulement 600 pièces, elle promet l’exclusivité et devrait être présentée à certains détaillants d’ici octobre 2023.

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