Vous avez vu passer le Jellyfish de Pharrell et adidas, mais le prix exorbitant sur le marché secondaire vous a rebuté ? Bonne nouvelle : l’adidas Adistar XLG 2.0 débarque comme une alternative plus accessible. Ce n’est pas une copie, ni un ersatz, mais une autre interprétation du même ADN.

La silhouette conserve ce volume généreux qui fait tourner les têtes. La semelle épaisse, les lignes fluides, la référence à l’Adistar Cushion 3 des années 2000 : tout y est. Mais observez-la de plus près : les surpiqûres en TPU sont moins envahissantes, la languette est plus longue et les lacets ont une forme différente. Des ajustements subtils qui lui donnent un air différent, moins spectaculaire, plus quotidien.
Pharrell avait repoussé les limites techniques avec son Flow Mold et ses détails phosphorescents. Ici, Adidas reste fidèle à son langage sans chercher à faire sensation. Le résultat ? Une chaussure qui marche bien, littéralement, et qui ne crie pas trop fort.
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Le prix, fixé à 150 dollars, en dit long sur l’intention. Ce n’est pas un produit rare destiné aux collectionneurs. C’est une proposition pour ceux qui souhaitent adopter la tendance sans se ruiner. La sortie, prévue fin février, devrait calmer quelques frustrations accumulées depuis les premières ventes éclair du Jellyfish.
Des coloris comme le « Solar Orange » ont déjà été repérés. D’autres suivront au printemps prochain. Vous n’aurez pas besoin de rafraîchir votre page toutes les trois secondes ni de guetter les bots. Ce modèle est conçu pour circuler, pas pour disparaître.
Certains diront que c’est une version light, un compromis commercial. Peut-être. Mais dans un paysage où chaque nouveauté devient inaccessible, avoir le choix reste une victoire. L’adidas Adistar XLG 2.0 ne cherche pas à remplacer le Jellyfish. Elle lui fait simplement de l’ombre, gentiment.






