Sous le charme de Paris, Duran Lantink nous a fait découvrir un nouveau chapitre captivant de la mode avec sa collection Printemps 2024, marquant la métamorphose du créateur néerlandais en accord avec la saison florissante.
Dans cet ensemble d’avant-garde, l’art de Lantink a pris vie avec des proportions et des textures exacerbées, peignant une toile où la fantaisie croise l’art vestimentaire. Au milieu de l’attrait des fleurs printanières et de la mer tranquille, les pièces murmurent des histoires d’enchantement, transcendant les normes vestimentaires conventionnelles. Pour Lantink, l’attrait ne réside pas dans le message, mais dans le langage fascinant de l’expérimentation qu’il élabore avec passion.
L’odyssée du créateur nous a entraînés dans un monde où les gilets de sauvetage se transforment en parkas élégants et où les bouées flirtent avec les hauts de bikini. Une extravagance sauvage, mais élégamment maîtrisée, a défini les blazers pour hommes, dont les épaules rappellent une architecture majestueuse, reflétant des épopées tissées dans chaque point.
“Je suis déterminé à forger ma signature dans le domaine de la mode”, a déclaré M. Lantink. Son dévouement inébranlable à la transformation et à l’innovation est profondément ancré dans l’éthique de sa marque.
La durabilité étant au cœur de ses préoccupations, la marque Duran Lantink a tiré 95 % de sa création de stocks de vêtements de seconde main, reflétant ainsi la renaissance inhérente au printemps. Chaque pièce raconte une histoire de renouveau, faisant écho à la symphonie de la mer et des fleurs dans une harmonie éclectique. Des créations uniques, tricotées à la main à partir de laine, s’entrelacent avec des restes de marques illustres comme BALENCIAGA, illustrant l’unité du passé, du présent et de l’avenir dans chaque point.
Le Printemps 2024 a été marqué par des imprimés floraux modernes réalisés à partir de bouteilles en plastique réimaginées, renforçant ainsi le thème du renouveau. Au milieu de cette renaissance, Duran explore les formes et les silhouettes, se plongeant dans l’art tridimensionnel, là où la mode et la sculpture s’unissent. Ses créations, qui reflètent à la fois son évolution et la danse perpétuelle du printemps, offrent un aperçu d’un avenir où le vêtement n’est pas seulement une tenue, mais un récit de métamorphose constante.
Le public, fasciné, a assisté au mélange harmonieux du traditionnel et du contemporain, où les nappes en macramé vintage se transforment en robes emblématiques et où les jeans Speedo sont à l’avant-garde de la mode masculine. À l’approche de la finale, une robe noire découpée en sablier a occupé le devant de la scène, incarnant l’esprit novateur de Lantink et suscitant des conversations sur l’évolution de la tenue vestimentaire.
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© Photos : Duran Lantink
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